Migrants, ce que la presse ne nous dit pas …
Les “Black Axe”, sans doute n’en n’avez-vous jamais entendu parler, mais il s’agit d’un des réseaux criminels nigérians le plus structuré et ne reculant devant aucune brutalité.
Le 15 mars 2019, Mme Andrea Tivig du groupe “Terre des Femmes” et le site “infomigrants.net”, avertissaient : “Les trafiquants d’êtres humains obligent leurs victimes à demander l’asile. Une régularisation qui leur permettra de demeurer en Europe où elles continueront d’être exploitées dans les réseaux de prostitution, comme c’est le cas en Allemagne et dans d’autres pays d’Europe.”
Au Canada, le journal “Globe and Mak” décrit les “Black Axe” comme un “culte à la mort”, et le Washington Post en juin 2019, les signalait comme “mafia nigériane” … Cette mafia nigériane se compose de trois gangs rivaux, les “Black Axe”, les “Vikings” et les “Maphites”, leurs activités principales sont le trafic d’êtres humains, le racket, les trafics divers (drogues, armes), les viols collectifs, les violences physiques, le meurtre …
Il serait temps que les autorités politiques des pays d’accueil et les collectifs irresponsables des “réfugees welcome” ouvrent les yeux sur les divers effets néfastes d’une partie de cette migration. Déjà, dans des pays comme la Suède, le Danemark, l’Allemagne, l’Italie et même l’île de Malte, la criminalité liée aux gangs de migrants pose de plus en plus de problèmes. Et avec le flux continu d’arrivées, c’est loin d’être terminé.
Pour NATION c’est clair : PAS DE CA CHEZ NOUS !
Jean-Pierre Demol
Sources supplémentaires: OIM (ONU) – Expressen (Suède) – Gatestone Institute – Deutche Welle – Solidarité avec les femmes en détresse (Barbara Wellner) – Jyllands-Posten .
0 commentaire