Marchands de sommeil et bâtiments inoccupés!
La crise sociale qui va suivre la crise sanitaire risque d’encore plus remplir les poches de ceux qu’on appelle, les marchands de sommeil
Pour lutter contre cette nuisance, cela nécessiterait une action constante et coordonnée entre les agents de quartier (il y en a de moins en moins) et les facteurs, car dans beaucoup d’immeubles il y a beaucoup de sonnettes et peu de noms sur ces sonnettes.
Il faudrait punir sévèrement les propriétaires de ces logements et dans la mesure du possible les renvoyer chez eux puisque une grande partie de ces propriétaires n’ont pas la nationalité belge. ET d’ailleurs profitent souvent du malheur d’autres immigrés.
En ce qui concerne les + ou – 14.000 bâtiments inoccupés, la région bruxelloise devrait aider les petits propriétaires en leur prêtant, à un taux, d’intérêt peu élevé, des fonds pour rénover leurs immeubles. La région pourrait aussi subsidier une partie des travaux à effectuer (il y va aussi de l’intérêt de la région)…
Guy Vandenkerckhoven
0 commentaire