Immigration : quelques chiffres officiels !

Publié par NATION le

Il faut parfois creuser en profondeur pour trouver quelques chiffres sur l’immigration en Belgique, et lorsqu’on en trouve, il faut les prendre avec des pincettes, car il n’est pas certain que ces chiffres sont exacts, et peuvent être minimisés. Ainsi par exemple, les “illégaux”, dits aussi “sans papiers” ou “personnes en séjour irrégulier” dans le langage “politiquement correct”, seraient impossible à chiffrer, on peut juste se rabattre sur certains chiffres, qui affirme que ces illégaux seraient 100.000 environ, rien que dans le grand Bruxelles.

Selon Eurostat, 16.561 dossiers “en retard” doivent encore être traités par l’Office des Étrangers au 31 août 2023. Et avec les flux continus d’arrivées de migrants, ces retards s’accumulent. Toujours selon Eurostat, entre janvier et août 2023, il aurait été dénombré 17.940 premiers demandeurs d’asile en Belgique (ils précisent qu’en 2015, avec le conflit syrien, c’étaient 38.990 demandes d’asile.)

Parmi les 10 nationalités les plus importantes des demandeurs d’asile, 6 viennent de pays africains et maghrébins, et 4 d’Asie musulmane. Ces demandeurs d’asile sont majoritairement des hommes seuls, âgés entre 18 et 35 ans, et un petit peu moins (2.440), âgés entre 35 et 65 ans. Il y aurait 10 % de mineurs non accompagnés et 7 % de femmes isolées.

Au niveau du coût, très peu d’information : budget Fedasil 2022 : 708 millions d’euros de dotation fédérale, et depuis 2014, ces dotations, avec l’argent des contribuables, ne cessent d’augmenter chaque année.

Il y a aussi les informations de Statbel, qui nous disent qu’en 2022, le solde migratoire s’élevait à 116.554 personnes. Que depuis 2017, ces soldes varient, et que certains dépassaient les 160.000 personnes comme en 2017, 2018 et 2019.

Les migrants légaux (demandeurs d’asile) et les illégaux, ont des droits, que peu de Belges ont :

  • le demandeur d’asile a droit à un logement, à un soutien juridique, aux soins médicaux, à une carte de téléphone pour les contacts familiaux au pays d’origine
  • à être vêtu, chauffé et nourri, et même de percevoir une allocation journalière (argent de poche)
  • les illégaux ont aussi droit aux services médicaux, à l’éducation scolaire pour leurs enfants, à un accès à la justice…

Selon une étude de la Banque Nationale de Belgique (BNB) de juin 2016 (aucun chiffre plus récent), l’arrivée d’immigrés dans un pays engendre une charge budgétaire, relativement importante, en raison de divers éléments :

  • coûts des procédures d’asile
  • fourniture de logement, de biens matériels, d’aide à l’énergie (gaz/électricité), soins de santé, éducation scolaire des enfants
  • coût des infrastructures d’accueil, embauche de personnel supplémentaire, mise en place de politiques d’intégration, qui est un véritable échec national .

Selon la BNB, “en 2014, c’est pas moins de 45,5 % des étrangers qui contribuaient au risque de pauvreté en Belgique”, et cela ne peut que s’aggraver de nos jours.

NATION veut changer cette politique de l’immigration en profondeur, occupons nous d’abord des pauvres de notre pays (selon des chiffres d’il y a 5 ans, deux millions de personnes ou familles en Belgique sont au seuil de la pauvreté, un vrai scandale pour “la capitale de l’Europe”) ! NATION dit “STOP à cette immigration !!!”

Jean-Pierre Demol

Source : L’Echo, Fedasil, Statbel, Office des Étrangers, BNB.


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