La gauche qui parle de démocratie, c’est comme Dutroux dénonçant la pédophilie!

Publié par NATION le

A l’approche du 1er mai et de l’annonce d‘une  contre-manifestation s’opposant au rassemblement de NATION à Liège, on va entendre la gauche et l’extrême-gauche parler sans arrêt de démocratie.

Nous pensons donc utile de rappeler qu’au niveau de la démocratie, la gauche est très mal placée pour parler de démocratie et de respect des libertés.

Pour cela, nous allons parler du récent ouvrage publié par Hervé Hasquin. Cet homme politique et historien est tout sauf un proche de nos idées. C’est pourquoi, cet ouvrage, intitulé « œillères rouges », est d’autant plus pertinent.   

Il y explique et critique l’aveuglement, voire la complaisance, de certains intellectuels de gauche face aux crimes du communisme.

Il s’en explique dans une interview au quotidien « Le Soir » dont voici quelques croustillants extraits :

  • Certains refusent de comparer les totalitarismes “noir” et “rouge” au motif que les communistes avaient un idéal, de bonnes intentions en sorte …
  • Mettre l’accent sur les fins éthiques est la grande astuce pour ne pas se poser de questions sur les résultats. Oui les fins éthiques sont différentes  mais quand on voit la pratique et les résultats, ça revient à la même chose dans les faits, hélas!
  • Ainsi, pour ma part, j’ai été scandalisé quand j’ai lu cette carte  blanche publiée  dans le soir du 3 octobre 2019, signée par une série d’intellectuels, anciens communistes pour la plupart, beaucoup sortis de l’ULB et que j’ai fréquenté, qui contestaient une motion qui venait d’être votée au parlement européen, affirmant précisément que “les régimes totalitaires communistes et nazis doivent être également assimilés et condamnés”.

Il répond aussi à la question suivante : « Vous dites que le négationnisme  vis-à-vis de la Shoah est insupportable, mais que” la gauche a aussi ses Faurisson”….

  • Oui, parce que vous avez le même type d’attitude. Prenez Aragon, par exemple, Aragon est une crapule, un brillant poète, mais une crapule tout de même qui n’a pas hésité à cautionner à peu près tout sous Staline et après, simplement parce qu’il vivait aux crochets du Parti Communiste français.

Une de ses conclusions est la suivante :

  • Donc, il y a des choses dont il ne faut pas  parler .C’est exactement ce qui se disait au temps du stalinisme. Et c’est  exactement ce qui se dit encore aujourd’hui dans le  débat sur ” l’islamo-gauchisme” qui  est en train de secouer l’université française. Ce sont les mêmes mécanismes : ne pas faire le jeu de l’ennemi traditionnel, ” les fachos”

Tout est dit !


1 commentaire

hvl

hvl · 23 avril 2021 à 9 h 13 min

Reçu par mail de Jean S. :
Ne pas oublier non plus… Le “socialisme” va vers l’obligation vaccinale (pour financer son “parti”, comme tout bon “socialisme international”), tels les FARC en Colombie, et les “narcos”, qui financent le “socialisme” en blanchissant leur argent sale via des “dons” au “gaucho-islamo-progressisme”, tout comme les grands financiers et industriels internationalistes (labos pharmaceutiques, et autres gros groupes internationalistes et banquiers, comme google, facebook, Microsoft, et son William Gates III, qui les finance à coups de millions de dollars, Soros, les “hommes de Davos”, les magnats du média, etc… Donc, en résumé, tous les grands groupes qui peuvent se permettre d’acheter les rois de n’importe quel “royaume”, les présidents de n’importe quelle “république”, et n’importe quel “politique” du gouvernement, pourvu qu’il soit “à gauche”)… Il faut vraiment être débiles, pour ne pas voir que ce sont ces gens, qui gouvernent, et non n’importe quel “roi”(ou reine), “gouvernement”, “chancellier(e)”, “UE”, “président(e)”, “république” (ou dictature), ou encore, n’importe quelle autre “démocratie” auxquelles personnellement, je ne crois plus, ni n’obéis…

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