Le coronavirus, nous dit-on tout ?
Sans vouloir passer pour des “lanceurs d’alertes” paranoïaques qui crient aux loups abusivement, ce qui n’avancerait personne, à NATION nous nous posons néanmoins des questions.
Est-ce que tout est dit à propos de l’épidémie du coronavirus ? En Chine, des dizaines de millions de personnes sont mises en quarantaine. Or, selon les chiffres donnés aux infos, un peu plus de 2.000 personnes en sont mortes dans un pays de 1,4 milliards d’habitants… ce qui fait que ce virus paraît moins dangereux que la grippe annuelle.
Mais pourquoi alors de telles mesures, qui en plus, ont un fort impact économique négatif ?
La version que l’on nous sert est-elle crédible ? Après le décès du docteur Li Wenliang, qui avait défié les autorités chinoises, pouvons-nous encore faire confiance à la parole du régime communiste chinois ? Et surtout, nous cache-t-on quelque chose, qui inquièterait tant la Chine?
Il y a des éléments troubles, d’une part, on tente de nous rassurer avec un ou deux patients totalement guéris, d’autres, mis en quarantaine pendant 14 jours qui ont pu rentrer chez eux, et d’autre part, des éléments factuels (dont le forum de Davos), où il est demandé à des gouvernements de se préparer à une pandémie à coronavirus (en France, un sénateur a préparé un projet de loi à ce sujet sur l’ordre du président Macron …) Faut-il donc “minimiser”, ou dramatiser, on aimerait bien le savoir !
Pour NATION, si le danger de propagation est réel, le gouvernement doit alors permettre au peuple de prendre les bonnes précautions, et à temps, car il vaut mieux parfois prendre des dispositions qui se révèleront peut être inutiles, plutôt que ne rien faire et d’arriver au “trop tard”. Et vu l’enjeu, il nous semble que le choix doit être vite fait, car selon certains spécialistes, il pourrait y avoir en Belgique, le “pic d’épidémie” vers juin ou juillet.
D’ailleurs, le Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO), propose déjà une série de mesures à prendre si le virus venait à se répandre chez nous. Chez NATION, prévenir, c’est aussi un peu guérir, écoutons ces spécialistes.
Jean-Pierre Demol
Sources : Artemisia-Collège – Dr Paul De Munck, président du GBO
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