Un État qui ne sait même plus où il va !
C’est en tout cas bien l’impression que l’on a lorsqu’on voit ce qui se passe en Belgique !
Manifestations à répétition, policiers qui refusent de mener des missions (remplacement des gardiens de prison), pays paralysé par les grèves de train, libre jeu laissé aux bandes violentes d’extrême gauche par une justice totalement contrôlée par le PS, un premier ministre invisible, des dizaines de prisonniers dont on prolonge le congé pénitentiaire au mépris de toutes les procédures pour éviter des émeutes en prison ; l’État démontre tous les jours un peu plus dans quel état de faillite moral mais aussi structurel il se trouve. Alors, bien sûr, ce n’est pas la première fois que la Belgique est dans un sale état mais là on semble avoir atteint des niveaux jamais atteints et on a vraiment l’impression que la chute n’est pas finie.
On sait bien évidemment que les syndicats, manipulés par les socialistes, n’ont fait qu’aggraver les choses. Mais soyons honnêtes, la Belgique était déjà un état en faillite sur un plan financier et sur un plan moral. Il fallait bien qu’un jour, cela débouche aussi sur une faillite structurelle puisqu’on semble être arrivé au point que l’État ne peut plus remplir certaines de ces fonctions régaliennes.
Certains nous diront que si le gouvernement tombe et que les socialistes reviennent au pouvoir, les choses se calmeront… Pas si sûr car on assiste actuellement à ce qui peut parfois faire s’effondrer des systèmes qui paraissent pourtant bien installés. À savoir la soif du pouvoir de certains. Ici en l’occurrence des socialistes qui, au lieu d’attendre les prochaines élections, veulent revenir au pouvoir au plus vite et coûte que coûte… Et ce faisant, ils sont peut-être en train de mettre en branle, un processus dont ils pourraient bien perdre le contrôle ou du moins, sous-estimer les traces qu’il laissera dans la société. Société dont les citoyens découvriraient qu’un vaste mouvement populaire, même s’il est manipulé répétons-le, peut mettre un gouvernement en échec.
Pour notre part, nous ne verserons pas une larme sur le gouvernement Michel et sur ses alliés de la NVA qui n’ont cessé de piétiner les points de programme sur lesquels ils s’étaient fait élire. En particulier, sur le plan de l’immigration.
Pour nous, libéraux ou socialistes, ils font partie du même système politico-financier vendu aux forces financières apatrides et vagabondes.
Pour la première fois depuis longtemps, ce système semble se mordre la queue et connaître de graves contradictions internes. Nous ne pouvons qu’aider à ce qu’il s’effondre !
Lire aussi l’article intitulé “Sur la méthode des syndicats”
3 commentaires
Auguste · 1 juin 2016 à 10 h 52 min
Et si vous portiez en public un débat sur l’apport positif des musulmans . Les réactions seraient intéressantes et obligeraient les politiciens a prendre position . C’est un truc a étudier . L’apport positif de l’Islam donc des musulmans en Belgique .
luciana · 1 juin 2016 à 15 h 39 min
Excellente idée.
Debbaudt · 1 juin 2016 à 16 h 20 min
Jamais il ne laisseront NATION faire un débat public sur la question musulmane de peur que nous ayons trop de vrais arguments contre cet intégration forcée , de peur aussi que NATION puisse électrochoquer ouvrir les yeux à certains bababobo possédant encore un zeste de logique qui leur fera perdre cet électorat !