Menaces contre ses locaux : l’APF réagit !

Publié par NATION le

Après des actes de vandalisme contre les bureaux de l’APF, l’extrême-gauche annonce un « meeting » sur le thème « Il faut faire fermer le local de l’APF ! ». C’est vrai qu’il n’y a vraiment aucun autre sujet qui touche les gens et dont ils pourraient débattre…

Quoi qu’il en soit, ce meeting aura lieu dans des locaux de l’Université Libre de Bruxelles. C’est-à-dire que c’est à l’endroit où l’on prône le libre examen que l’on va appeler à faire fermer les bureaux d’un parti politique légal !

Au-delà de l’hypocrisie de ces soi-disant démocrates, l’APF a écrit au recteur de l’université pour lui préciser que s’il est normal que des opposants puissent s’exprimer, il est par contre illégal de proférer des menaces et d’appeler à la violence contre les locaux ou/et les membres de l’APF !

L’APF a précisé au recteur que si des appels à la violence avait lieu dans les locaux de l’ULB et que des actes répréhensibles suivaient cette réunion, il se réservait le droit de considérer l’ULB et son recteur comme co-responsables et engageraient les mesures juridiques nécessaires.

Un recteur averti en vaut deux !

 

Pour rappel : l’APF (initiales en anglais de Alliance pour la Paix et la Liberté) est un parti pan-européen, reconnu par le Parlement européen, et dont NATION fait partie.

SITE 1

Conférence de l’APF en juin dernier


1 commentaire

James · 29 septembre 2016 à 8 h 14 min

Il est aussi absolument nécessaire d’aviser les autorités compétentes de chaque menace , par lettre recommandée, avec accusé de réception et avec preuve à l’appui. Il s’agit entre-autre du min. des affaires intérieures, le bourgmestre, le chef de corps de la police locale, et le parquet, en attirant leur attention sur leurs responsabilités cfr aux dispositions légales en vigueur. Il ne faut pas trop espérer, mais ces démarches sont nécessaires en cas d’incidents graves avec blessés,& morts, en vue d’entamer une procédure judiciaire du chef de coups et blessures involontaires par défaut de précautions et / ou abstention coupable.
Dans le but d’une telle procédure, il y aura lieu de prouver que les autorités étaient au courant du danger, et que rien n’avait été fait pour protéger les victimes, et par conséquent, leur réponsabilité doit être mise en cause.
Comme déjà mentionné dans l’article : un responsable averti en vaut deux!!
Et l’attaque et la meilleure défense.

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