Il faut, parfois, savoir tourner la page !
L’engagement politique est quelque chose de dur et d’exigeant. En particulier, lorsqu’on le fait en défendant des valeurs patriotiques et identitaires dans un système où tout ne tend qu’à détruire les nations et les identités.
Quand on rentre dans un mouvement comme NATION, on ne le fait pour s’enrichir et cela ne vous permettra pas d’accéder plus vite à une habitation sociale ou à un poste professionnel convoité.
Non à NATION, on y vient pour les principes et pour défendre certaines valeurs.
Mais ce combat est difficile, âpre et avec parfois cette impression qu’il est vain !
C’est sans nul doute ce qui, parfois, pousse des camarades soit à baisser les bras, soit à essayer autre chose, autrement, autre part…
Mais très vite, ils font leurs expériences et comprennent que finalement NATION était bel et bien l’unique opposition mais surtout la seule alternative organisée au sein de laquelle, cela a un sens de militer.
Ils le comprennent mais préfèrent parfois rester dans leur coin plutôt que de faire marche arrière…
C’est pourquoi, nous pensions utile de reproduire ici un texte qu’a publié un camarade, avec lequel le Mouvement avait dû rompre. Et qui a publié les lignes suivantes sur son mur facebook. Non sans un certain courage car il y a peu de gens qui osent écrire publiquement qu’ils ont fait un mauvais choix…Nous citons quelques extraits : « Malgré les divergences (…), je reste convaincu que NATION reste une des solutions maitresses face à la destruction de nos valeurs, à la perte de notre identité, de notre culture, prônées par les partis traditionnels, que sont les PS, MR, CDH et cie…Et encore, je ne parle que de ce qui nous est propre. Ces partis traditionnels, pro-mondialisation, pro- groupes financiers, favorisant la libéralisation à outrance destructrice, la mainmise de nos avoirs par des groupes industriels étrangers se situant aux antipodes de nos réalités, se moquant éperdument de nos lois et n’hésitant pas à nous crever socialement, doivent être combattu sans pitié et mis à bas ! En bref, parmi la multitude, je ne vois que NATION, faisant partie de l’APF, qui seul en Belgique, a la réelle volonté de vouloir redresser la barre. Aussi, ai-je fais la demande de réintégration au sein de NATION et j’encourage quiconque, ayant encore un sursaut de réalisme, de me rejoindre et d’essayer avec nous de renverser la vapeur, car demain, il sera trop tard…Ne restez pas chez vous à pleurnicher sur votre sort et à rouspéter, seul, devant ce qui se passe ! Exprimez-vous avec nous ! Ensemble, nous serons plus fort ! »
Tout est dit dans ce courageux texte (nous n’inventons rien et ce texte est bien l’œuvre d’un membre de NATION).
En effet, la situation est bien trop grave que pour se priver de bonnes volontés.
De même, voici quelques mois, nous avons repris la collaboration avec un mouvement flamand alors que nos routes s’étaient séparées voici quelques années suite à des divergences sur la manière d’agir. Mais il n’en reste pas moins que l’absolue nécessité de défendre nos peuples nous a poussée à recommencer à travailler ensemble.
Il doit en être de même pour les camarades qui se sont séparés de NATION pour diverses bonnes ou mauvaises raisons (pour autant bien entendu qu’ils n’aient pas essayé de faire du tort au Mouvement ou à ses membres…).
NATION, comme toute entreprise humaine n’est pas parfait, mais on ne peut lui reprocher de ne pas s’activer sans répit pour la défense de nos valeurs et de notre population.
Pour ce combat, nous avons besoin de tous. Y compris ceux qui par lassitude, par fatigue, par désespoir parfois, se sont arrêtés en chemin. Il s’agit d’une longue marche et il n’est jamais trop tard pour la reprendre.
C’est le souhait et l’appel que nous lançons à ceux qui veulent revenir à nos côtés…à leur place !
Hervé Van Laethem
2 commentaires
Debbaudt · 8 octobre 2016 à 11 h 11 min
Partir c’est mourir un peu , revivez revenez NATION à besoin de tous les camarades !
Christophe Hertay · 12 octobre 2016 à 4 h 03 min
Je confirmes ce texte car je suis le militant cité qui a choisir de revenir! Merci Hervé