Le pervers pépère gauchiste est mort !
Récemment, la RTBF a fait grand bruit autour d’un prêtre d’une fraternité traditionaliste accusé d’actes à caractère pédophile. Nous ne nous prononcerons pas sur le fond de l’affaire qui doit être rejugée (pour rappel, l’intéressé a été acquitté en première instance) sauf pour rappeler notre position en la matière : s’il est coupable, il doit être sanctionné avec la plus grande rigueur !
Ceci dit, les médias bien pensants ont été bien plus discrets et mesurés en évoquant le décès du “pape” (sic) belge de l’alter-mondialisme, François Houtart. Homme d’église, à ce point gauchiste qu’il était surnommé le “chanoine rouge”, Houtart que certains ont même pensé à proposer au Prix Nobel de la Paix, a été rattrapé en 2010 par des affaires de pédophilie.
L’intéressé se sentait à ce point innocent qu’il s’est empressé de s’exiler en Équateur, sans que la justice belge ne cherche vraiment à l’inquiéter d’ailleurs. Et où il est à craindre qu’il ait eu bien plus facile à sévir et à s’offrir de la chair fraîche.
À noter qu’avant que ces affaires ne deviennent publiques, même si c’était un secret de polichinelle, l’intéressé avait soutenu pour les élections fédérales de 2010 une alternative unitaire de la gauche francophone. Cette sorte de cartel se dénommait le Front des Gauches et comprenait le Parti Communiste, la Ligue Communiste Révolutionnaire, le Comité pour une Autre Politique, le Parti Humaniste et le Parti Socialiste de Lutte.À ce jour et à notre connaissance, aucune de ces organisations n’avait pris ses distances avec le tripoteur de gosses lorsque le scandale a éclaté…
Il est vrai que de Cohn Bendit au Chanoine Houtart, en passant par leur idole cinématographique Polanski, les gauchistes n’ont jamais démenti leur compréhension pour les pervers de la pire sorte…
2 commentaires
Debbaudt · 13 juin 2017 à 11 h 38 min
Un seul chatimment …..PEINE DE MORT !
GERARD R. · 13 juin 2017 à 12 h 13 min
C’est bien connu que tôt Houtard, la justice présente l’addition. Je parlais de la justice immanente, bien entendu. Car l’autre…