Migrants : la tromperie révélée au grand jour !

Publié par NATION le

Le gouvernement Michel avait presque réussi à faire croire qu’il avait une position dure par rapport à la crise migratoire. Théo Francken, bien aidé indirectement par une extrême-gauche qui a besoin d’un grand méchant loup pour encore essayer de mobiliser ce qu’elle peut, communiquait à répétition sur quelques expulsés alors que c’est sous son ministère que des records d’accueil et de régularisations ont été battus.

Mais là, les masques sont tombés. Sur un clignement d’œil de l’Union européenne, Francken et Michel se sont mis au garde à vous et ont accepté d’accueillir une partie des migrants embarqués sur le navire baptisé Lifeline et qui est le nouveau « Exodus médiatique » à la mode.

Mais d’autres régularisations se font tous les jours, au mépris de tout bon sens. Ainsi, un citoyen turc dénommé Cahit Zorel vient d’être régularisé après 17 ans ( !) de présence illégale dans ce pays. Cerise sur le gâteau, l’intéressé est un militant d’extrême-gauche qui est soupçonné d’être membre du DHKP-C, groupe terroriste d’extrême-gauche qui a de nombreux morts sur la conscience !

Au fou !

Tout cela est bien la preuve que tous ces partis populistes (de la NVA au PP qui se prétend le plus grand supporter du premier) n’auront jamais le courage de pratiquer une réelle politique de l’immigration zéro et du véritable contrôle des frontières.

Seul un important vote pour les listes identitaires de NATION poussera cette droite molle et lâche à prendre ses responsabilités car elle commencera à avoir peur de perdre ses sièges.

Le 14 octobre, ne vous trompez pas de vote ! Là où vous pouvez, votez NATION !

 

 


12 commentaires

Horizon · 28 juin 2018 à 13 h 21 min

Si Nation accédait un jour au pouvoir, le parti aurait aussi tous les autres contre lui.
Même avec la volonté, il ne pourrait pas faire mieux.
Je ne crois pas aux miracles.

    hvl

    hvl · 28 juin 2018 à 19 h 27 min

    Orban en Hongrie est la preuve vivant e que quand on veut, on peut

Maggy Balcaen · 28 juin 2018 à 13 h 43 min

Ce matin, un société vient faire la tonte du point de vue ( situé en province de Luxembourg)…les deux “tondeurs”….des turcs!!!!!!!!

Jean · 28 juin 2018 à 15 h 52 min

Il est bien vrai que l’immigration de masse se poursuit en fanfare sous Francken en dépit de tous ses effets d’annonce aux relents électoralistes appuyés. Son bilan chiffré reste celui d’un mauvais élève, particulièrement au niveau du nombre d’expulsions de personnes qui ont reçu un ordre de quitter le territoire. Même l’aménagement de centres fermés qui fait tant bondir les gauchistes et les saules pleureurs de toute obédience témoigne en fait de l’impuissance générale : seul un très faible pourcentage des illégaux jugés indésirables repart vraiment, ce qui signifie que la plupart d’entre eux échappe à la Loi. Dans ce contexte, l’accueil d’un groupe d’illégaux du Lifeline a une portée symbolique néfaste – il montre que nos gouvernants se soumettent aux diktats des pontes de l’U.E. – et constitue aussi plus pragmatiquement un énième “appel d’air” pour ces populations africaines qui, par millions, sont prêtes à tout pour s’introduire dans notre “Eldorado”. On peut croire que là-bas, personne ne prend l’UE au sérieux quand elle bombe le torse en annonçant un durcissement de sa politique migratoire… puisqu’il sera de toute manière réduit à pas grand-chose par les juges qu’elle a elle-même installés et qui contrôlent ses activités droitsdelhommesques. La seule issue ? adopter la politique strictement identitaire des pays du groupe Visegrad, Hongrie en tête, qui, sans crainte, se sont clairement prononcés contre le melting pot institutionnalisé de l’Europe de l’Ouest, ce que l’on attendra encore longtemps de Francken, croquemitaine pour gosses de la maternelle…

    Horizon · 29 juin 2018 à 9 h 24 min

    Je voudrais te voir à sa place !

      hvl

      hvl · 29 juin 2018 à 10 h 53 min

      Je répète que Orban, lui aussi est au pouvoir, lui aussi est dans l’UE, et pourtant il a dit non !
      Francken est tout simplement lui aussi soumis au mondialisme, tout type de “droite” qu’il prétend être

      pazuzu · 3 juillet 2018 à 13 h 36 min

      Théo Francken fait son possible. Il a tout le monde contre lui. Des membres de son gouvernement, des associations en tout genre qui prétendent parler au nom du citoyen lambda(sic) et qui ont un pouvoir de nuisance énorme. Vous connaissez les noms: LDH/UNIA, MSF, Amnesty, Oxfam , Gaïa….La presse aux ordres ajoutez -y des artistes et sportifs “des people”subsidiés par nos (vos) impôts sans oublier les syndicats. C’est beaucoup de monde pour manipuler, culpabiliser, faire de la propagande, formater les esprits. La première chose à faire selon moi:couper les subsides à la presse, aux sportifs et artistes en tout genre. Je n’ai pas besoin de payer pour que les frères D…. fassent des films sans relief;entendre sur les nombreuses radios publiques et autres, des chanteurs sans talent, des humoristes qui ne font rire qu’eux-même et autres “artistes engagés”qui pullulent sur nos radios subsidiées. Quant aux ONG, que leurs partisans y aillent de leur salaire. Ce serait déjà un bon début.Tous se nourrissent sur le “cochon de contribuable” et il est encore bien gras.
      Il faut une vraie révolution fiscale. C’est le début d’une nouvelle politique Amen

      hvl

      hvl · 4 juillet 2018 à 13 h 58 min

      Ah c’est curieux, quand les mêmes médias et les mêmes groupes luttaient contre les véritables organisations nationalistes, on n’entendait guère Théo Francken et ses amis. Tout ceci n’est que du théâtre ! Victor Orban en Hongrie est la preuve vivante qu’un pays peut dire non à toutes les pressions

Bernard Van Muy · 30 juillet 2018 à 20 h 18 min

Quel est le point de vue de Nation sur l’Union Européenne, large responsable de la ,politique d’immigration, devant laquelle tous les gouvernements nationaux s’agenouillent et obéissent comme un seul homme ?
Bien sûr, Orban, avec les autres pays du groupe de Visegrad, s’affranchit de l’UE mais à terme, il n’y aura d’autre choix que de sortir de l’UE, ainsi que de l’OTAN dont dépendent entièrement les pays membres de l’UE pour leur politique de défense et de sécurité (Traité de Lisbonne) mais également pour leur diplomatie elle-même – ce qu’on ne dit jamais – et donc aussi pour leur politique d’immigration ! Sans souveraineté retrouvée, les pays européens ne sont plus que fétus de paille. NATION se pose-t-elle ces questions ? Si ce n’est pas le cas, je vous invite à consulter le site de l’UPR française qui a des dizaines de longueurs d’avance sur leur approfondissement et sur les pistes de solution pour sortir de l’UE et de l’OTAN.

    Demol Jean-Pierre · 24 août 2018 à 8 h 53 min

    @ Bernard Van Muy Mon explication sur cette Europe des Nations n’est évidemment pas complète, je m’en excuse . Que serait-elle et que comprendrait-elle me demandez-vous : Je répète donc, cette Europe que veulent construire les nationalistes, serait une vraie Europe unie et forte surtout, où les pays membres auraient des salaires similaires, et non des grandes différences comme il en existent aujourd’hui . Il faut aussi dès lors, que les marchandises soient aux mêmes prix dans toute l’Union, afin d’éviter la concurrence déloyale inter-européenne . Il nous faudra juste pratiquer un protectionnisme raisonnable et raisonné contre la concurrence indienne ou chinoise, forts de leur très faible prix de main-d’oeuvre et des marchandises qu’ils produisent, pas toujours de bonne qualité d’ailleurs …Il faut aussi rétablir les frontières, et supprimer certains “traités”, plus néfastes les uns que les autres . Il ne faut plus non plus, être à la solde de la politique économique américaine, qui ne vise que ses propres intérêts, et qui préfère une Europe faible, pour asseoir leur hégémonie .
    Pour créer cette Europe des Nations, pas besoin non plus de ces milliers de députés inutiles et coûteux, il faut juste créer une autorité européenne, composée de gens élus par le peuple, des gens qui ne sont pas à la solde de puissances financières . Et donc clairement, il faut supprimer les coquilles vides de cette institution technocratique, tel les “Droits de l’homme”, et d’autres organismes qui ne servent que des intérêts personnels . Voilà en quelques mots supplémentaires, l’Europe que les nationalistes aimeraient créer . Si les technocrates ont tenu le coups si longtemps dans leur “bordel”, il n’y a pas de raison pour que les nationalistes ne puissent un jour rétablir ce désordre, et en bien moins de temps .

    Quand à l’euro, je sais très bien que de plus en plus d’économistes, surtout ceux qui ne passent jamais à la télé, pensent que sa sortie serait profitable à de nombreux pays d’Europe, malgré une dévaluation quasi obligée, des monnaies nationales … C’est un avis que je respecte, car il est clair que cet “euro” a été pensé pour une autre société que celle construite par les technocrates, mais … Si nous arrivions à “réparer” cette Europe, avec des pays aux taux de vie similaires, sortir de l’Euro serait un point négatif, à mon avis . Je pense sincèrement, que la sortie de l’euro doit être la solution ultime .

    Bien à vous

Jean-Pierre Demol · 31 juillet 2018 à 7 h 17 min

@ Berbard Van Muy, Bonjour, vous pouvez déjà lire quelques avis à propos de cette Europe via notre programme https://www.nation.be/nos-propositions/ à la rubrique “Politique étrangère” . En gros, NATION est pour une Europe avec des États membres souverains, maîtres de leur politique interne et unis dans la politique européenne . Nous voulons aussi que les pays d’Europe soient maîtres de leurs frontières . Nous voulons garder l’Euro, mais en équilibrant la valeur des marchandises et des salaires dans tous les pays membres, afin d’éradiquer la concurrence déloyale. NATION refuse cette Europe de technocrates à la solde du mondialisme, NATION refuse une Europe à la solde de l’hégémonie américaine et du pouvoir financier des multinationales …

Bien à vous

Bernard Van Muy · 23 août 2018 à 23 h 21 min

Jean-Pierre Demol, Vous dites :”En gros, NATION est pour une Europe avec des États membres souverains, maîtres de leur politique interne et unis dans la politique européenne”.
A partir où un pays a retrouvé sa souveraineté intégrale : réappropriation de la fabrication de la monnaie, des services publics, de la diplomatie, de la défense nationale, il n’ y a plus besoin de s’unir dans une politique européenne dont vous ne dites pas de quoi elle serait faite et ce qu’elle comprendrait. La souveraineté doit être entière et indivisible, il faut donc s’affranchir de toutes les règles supra-nationales, en particulier de la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui dicte ses conditions à notre justice nationale et à nos gouvernants.
Quant à l’euro, il va bientôt chuter définitivement car il a appauvri les Etats européens sauf celui de l’Allemagne, au point que la situation austéritaire n’est plus tenable (lire le livre de Coralie Delaume et David Cayla : “La fin de l’Union Européenne”. En fait, celle-ci est morte depuis 2016, elle ne tient plus que parce que les Etats membres n’ont pas la force de se séparer Il faut revendiquer la sortie du pays de l’UE. Voyez d’urgence sur le site upr.fr les vidéos sur la genèse de l’UE qui a été en fait conçue par les élites anglo-américaines pour mieux enchaîner les Etats européens dans un carcan : l’unanimité pour les décisions, réduisant cette UE à l’impuissance et de toute façon soumise également aux pouvoirs financiers multinationaux et à l’idéologie néo-libérale mondialiste. Le ver est dans le fruit depuis la création de l’UE, institution par ailleurs corrompue, dirigée par des gens non élus dont les populations peuvent parfaitement se passer pour gérer leur destin. De la radicalité que diable, sinon, nous en serons encore au même point dans 25 ans !

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