Pourquoi combattre le communisme?
Militant nationaliste depuis 1978, le combat contre le communisme et contre la gauche en général a toujours fait partie des luttes politiques ou activistes auxquelles j’ai participé. Et aujourd’hui, rien n’a changé dans mon optique sur cette gauche plurielle que j’exècre au plus haut point.
Si certains se demanderaient encore pourquoi, je peux leur rappeler que depuis 1917, il y a eu assez d’exemples nous démontrant la monstruosité du communisme : les famines organisées en Ukraine, les déportations de populations entières en Union Soviétique, les grands procès truqués, les tortures, les exécutions sommaires, le goulag, les purges, des massacres comme le génocide au Cambodge, les bains de sang de la révolution “culturelle” chinoise, la Corée du Nord, les crimes de Castro et de Che Guevara à Cuba, etc..
Ce communisme a fait plus de 100 millions de morts ! Cette idéologie, lorsqu’elle est au pouvoir, donne un avant-goût de l’enfer.
Mais aujourd’hui, qui parle encore de ces crimes, en dehors des patriotes nationalistes ?
Le communisme et ses atrocités peuvent compter sur la bienveillance des bien-pensants, des gauches plurielles. Et ils vont même de nos jours, et depuis mai 68, s’acharner à détruire notre civilisation en prônant une société multiculturelle, utopique et dangereuse. Ils veulent détruire la famille traditionnelle, nos identités nationales et européennes, supprimer les genres, etc.
Et face à cela, une certaine « droite » ne condamne pas, ne demande pas “d’excuses”, n’impose pas un “Nuremberg” du communisme…Bien au contraire, la droite et les libéraux centristes laissent même l’extrême gauche s’installer dans le pouvoir, avec les écolos ou les soi-disant défenseurs des travailleurs.
Ces groupes politiques de gauche sont aussi soutenus par une troupe d’idiots utiles, qui évoluent dans les milieux universitaires et au sein de la presse. Idiots utiles qui n’hésitent pas à soutenir ouvertement les idées de cette gauche pourrie. Et ne parlons même pas des autoproclamés “antifa”, jeunes crapules qui leur servent d’infanterie coloniale.
Il y a donc une honteuse tolérance envers cette gauche et extrême gauche qui veulent la fin de notre civilisation et la déconstruction des valeurs que nous ont laissé nos vaillants ancêtres, après deux grandes guerres.
Aussi, plus que jamais, lutter contre le communisme et ses complices de gauche, est et restera une partie principale de mon combat.
Afin que le nationalisme passe, il faut que la bête rouge trépasse !
Jean-Pierre Demol
3 commentaires
kerstens · 2 juillet 2021 à 15 h 45 min
Exact, le communisme depuis plus d’un siècle est un cancer qui a disséminé ses métastases partout dans le monde, et aussi en Amérique du Sud et en Afrique !
Le PCF, en France , vient de perdre son dernier bastion du département du Val de Marne, ce qui est une TRES BONNE nouvelle. Mais ne crions pas victoire. Dans beaucoup de pays d’Europe, les cocos ont infiltré l’administration et occupe toujours le cerveau de nombreux politicards. Si le mot “communisme” n’est plus tellement utilisé, le marxisme, lui, a pris le relai et avec son petit-frère gauchiste, ils gangrènent le quotidien de nos concitoyens et occupent les principaux médias.
Si électoralement les cocos disparaissent, leurs moyens d’action restent puissants grâce à ses courroies de transmission syndicales.
Et surtout, après l’URSS, c’est maintenant la Chine qui dirige l’orchestre idéologique mondial.
Autant savoir.
Goreux · 4 juillet 2021 à 18 h 14 min
Il faut combattre le communisme car cette idéologie est responsable de millions de morts au 20éme siècle. Les grandes famines en URSS, les goulags, le Cambodge, le Viet-Nam, la Chine de Mao, l”Ethiopie de Mengistu, le Congo Brazzaville… on peut en rajouter… Mr Hedebouw, une remarque à faire?
Mais on ne trouvera pas un vieillard pour venir parler d’un séjour dans un goulag….alors que ces goulags existaient encore du temps de Brejnev…Ce serait bien pour venir dans les écoles expliquer à nos enfants, jusqu’ou la barbarie peut mener. Ils sont donc tous morts ou bien n’ont plus les faveurs des médias que nous subsidions avec nos impôts.
kerstens · 5 juillet 2021 à 12 h 57 min
De nos jours , il y a encore des “camps d’internement” similaires au Goulag dans les plaines de Sibérie et la presqu’île de la Kolyma , en Russie, car Poutine ne les a pas tous fermé.
En Chine, on a pu constater que les camps de “rééducation” fonctionnent toujours, à l’exemple des Laogaïs de MAO, et que le président Xi Jiping y envoie les Ouïgours, musulmans, pour leur apprendre les normes en vigueur dans l’Empire du Milieu …