Wokisme, genre, novlangue, progressisme, dégénérescence,…non merci !

“Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté.” (Confucius, 500 avant J-C)

En 1949, pour son roman d’anticipation “1984”, le visionnaire George Orwell inventait le mot “novlangue”, et de nos jours, bien que hors du contexte de son roman, ce mot est de retour, il représente un vocabulaire ou des nouveaux mots, des nouvelles expressions, voir aussi “l’écriture inclusive”, bref, à peu près tout ce qui peut servir à dénaturer la réalité, et en même temps notre société.

Certains mots ou expressions sont aujourd’hui “tabou”, et la communauté bien-pensante, le plus souvent très à gauche idéologiquement, fait la promotion de ce qu’ils appellent le “progressisme”, idéologie qui à terme fera des dégâts non seulement sur la langue française, mais sapera aussi notre mode de pensée originel. Lorsque j’imagine que mes petits enfants seront éduqués dans leurs écoles via ce progressisme, cela me fait bondir.

Remplacer “sans abri” ou “SDF” par “ami de la rue”, c’est sans doute gentillet, mais cela cache surtout une réalité bien plus cruelle, car tous les SDF ne sont pas des “amis de la rue”, c’est aussi pour bon nombre d’entre eux, un calvaire.

Ceux qui suivent et promotionnent cette idéologie ne se rendent pas compte du ridicule de vouloir effacer ce qui pourrait gêner certains dans la réalité, car quoi qu’ils fassent ou disent, l’homosexualité restera l’homosexualité, les transgenres ne changeront pas d’avis ou rarement, le racisme dont l’anti blanc, existera toujours, le changement de population en cours est de plus en plus visible, l’immigration s’intensifie, et l’islamisation en Europe aussi.

Et les “solutions” de cette faune de nuisibles, le novlangue, le “cancel culture” ou la réécriture de l’histoire, la suppression du genre, la nouvelle mode du “blackwashing” ne servent qu’à une chose : la dégénérescence de notre société !

Outil du mondialisme, le mouvement “Woke” sert à la propagation de ces inepties sociétales, qui sont malsaines et mensongères, sous le justificatif de donner plus de droit à des minorités (immigration, LGBTQIA+, islamisation, Végan, etc.)

Le politiquement correct impose petit à petit ce novlangue comme par exemple : un délinquant devient un “jeune”, un clandestin devient un “sans papiers” ou un réfugié, bientôt aussi un “déplacé”, une zone de non-droit devient “un quartier sensible”, un non européen “une personne de la diversité”, l’islamisation, de la “diversité culturelle”, l’échec du “vivre ensemble” devient “problème de la mixité sociale”, un chef de bande, un “caïd”, devient “un grand frère”, un terroriste une “personne radicalisée”, ou quelqu’un présentant un problème psychiatrique, et les homos, transgenres, bisexuels, etc, deviennent de membres de la communauté “LGBTQIA+” … Et nous nationalistes, restons des vilains de « l’extrême droite » …

Là-dessus, je vais faire du “surcyclage”, puis écrire un “sexto”. J’irai ensuite dans un quartier “hipstérisé” (quartier de bobos), boire un “mocktail” (boisson sans alcool), et passer un moment en “cooltitude” en fumant un joint au « Coffee shop », pour oublier que j’ai été “covidé”.

NATION ne veut pas de cette société dégradée, NATION lutte pour le maintien de nos valeurs belges et européennes, pour notre culture, pour notre identité, nationale et sexuelle. Rejoignez-nous !

Jean-Pierre Demol