Ce qui reste de l’extrême-droite en Wallonie ? NATION, comme le montre la presse (lol)…

Une nouvelle fois, la presse essaie d’analyser ce qu’elle appelle « l’extrême-droite ». Et une nouvelle fois, pour illustrer ce qu’est l’activisme, elle n’a d’autre choix que de publier la photo d’une action de NATION, comme vous le voyez ci-dessous.

Dans l’article même, dans le passage qui lui est consacré, NATION est défini comme mouvement très axé sur le « militantisme de terrain » avec des membres qui font des « actions chocs ».

Il y a 2 conclusions à retirer de cet article et de cette illustration. La première est que même, et il faut avoir l’honnêteté de le reconnaître, notre Mouvement a perdu de sa dynamique d’antan ; il reste toujours incontournable pour quiconque veut parler du camp national en Belgique francophone et en particulier au niveau du militantisme. Les récentes réactions hystériques du bourgmestre d’Oupeye (lire ci-dessous) ou un récent rapport de l’OCAM (lire aussi ci-dessous) l’ont également démontré.

L’autre est que la plupart de ceux qui par naïveté, pure méchanceté ou pour leur espoir d’intérêt personnel, ont essayé de détruire NATION de l’intérieur en 2019, n’existent aujourd’hui plus sur un plan politique ou du moins, ont été priés par leurs nouveaux maîtres libéraux (la droite populiste qui essaie une fois de plus de confisquer électoralement le ras-le-bol de la population), d’aller se cacher dans les toilettes du monde politique « bien-pensant ».

EN tous les cas et malgré toutes les épreuves, NATION est toujours là et cet article est peut être un signe du hasard qui démontre que notre Mouvement va peut-être bien encore rebondir !