J’ai bien aimé le rapprochement «multi-culturel multi criminel». Deux mots tellement proches et pas seulement phonétiquement…
Je ne manquerai pas de placer cette expression chaque fois que l’occasion se présentera.
Nick
· 4 septembre 2016 à 17 h 15 min
L’apprentissage de l’arabe dans nos écoles, même s’il était réclamé par certains parents d’élèves et même à titre d’option, ne se justifierait pas.
A moins d’attribuer un statut semi-officiel à la langue arabe, comme cela est déjà le cas pour l’anglais, la connaissance et l’usage de l’arabe ne sont pas utiles à la vie publique de notre pays.
L’utilité de cette langue n’est qu’interne à une communauté restreinte : celle des immigrés et de leurs descendants originaires des pays arabes et arabisés. Et aussi, que de manière limitée : culture arabe et islam. L’utilité de cette langue à l’ensemble de notre société n’est donc pas évidente.
L’inscription de la langue arabe au programme scolaire n’intéresserait que les allochtones d’origine arabe. Elle leur offrirait une niche confortable d’entre soi, à l’abri de notre société mécréante tellement honnie ; elle renforcerait ainsi un sectarisme dont on mesure pourtant déjà les effets néfastes. En outre, notre enseignement y perdrait une de ces missions principales : la préparation des élèves à leur intégration dans une société dont ils doivent accepter la diversité.
Or, justement, les générations successives (de la première à la troisième) de cette communauté connaissent de sérieux problèmes persistants d’intégration. Très prompts à se plaindre de « discriminations » à l’embauche, peu de membres de cette communauté ont l’honnêteté de se demander s’ils sont vraiment compétitifs sur le marché de l’emploi, en particulier au niveau linguistique. Il est donc primordial de renforcer l’apprentissage de nos langues nationales auprès d’eux plutôt que de leur offrir l’option de l’une ou l’autre langue déconnectée de nos réalités. Pour ceux qui le désirent, le niveau universitaire offre un choix très large d’apprentissage et de spécialisation pour un nombre impressionnant de langues, anciennes ou modernes. Mais le prérequis pour l’apprentissage de langues étrangères reste une maîtrise de la langue de base (à ne pas confondre avec la langue maternelle). En Belgique, les langues de base sont : le français, le néerlandais ou l’allemand. Elles bénéficient d’un enseignement prioritaire et approfondi dans nos écoles maternelles, primaires et secondaires. Ceux qui rechignent à leur apprentissage en arguant que c’est l’arabe qui est leur langue de base, ont le loisir d’aller étudier dans les pays arabes ou arabisés. Quant à savoir si cela augmentera leur compétitivité sur notre marché de l’emploi…
En outre, l’arabe n’est pas n’importe quelle langue. Elle est la seule langue moderne au monde à être le vecteur d’une « religion » qui n’est, elle non plus, semblable aux autres religions, comme nous l’apprennent à suffisance les événements du passé et ceux du présent. La revendication de l’insertion de l’arabe dans l’enseignement, n’est donc pas que de nature linguistique ou culturelle. Elle pourrait dissimuler un prosélytisme religieux car l’islam est une doctrine totalitaire qui englobe tous les aspects de l’arabité, y compris la littérature, la linguistique etc. Cet enseignement nécessiterait, à coup sûr, l’embauche d’enseignants en provenance de l’étranger (devinez d’où) et on se retrouverait devant les mêmes problèmes que ceux déjà posés par les imams.
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2 commentaires
Horizon · 2 septembre 2016 à 9 h 07 min
J’ai bien aimé le rapprochement «multi-culturel multi criminel». Deux mots tellement proches et pas seulement phonétiquement…
Je ne manquerai pas de placer cette expression chaque fois que l’occasion se présentera.
Nick · 4 septembre 2016 à 17 h 15 min
L’apprentissage de l’arabe dans nos écoles, même s’il était réclamé par certains parents d’élèves et même à titre d’option, ne se justifierait pas.
A moins d’attribuer un statut semi-officiel à la langue arabe, comme cela est déjà le cas pour l’anglais, la connaissance et l’usage de l’arabe ne sont pas utiles à la vie publique de notre pays.
L’utilité de cette langue n’est qu’interne à une communauté restreinte : celle des immigrés et de leurs descendants originaires des pays arabes et arabisés. Et aussi, que de manière limitée : culture arabe et islam. L’utilité de cette langue à l’ensemble de notre société n’est donc pas évidente.
L’inscription de la langue arabe au programme scolaire n’intéresserait que les allochtones d’origine arabe. Elle leur offrirait une niche confortable d’entre soi, à l’abri de notre société mécréante tellement honnie ; elle renforcerait ainsi un sectarisme dont on mesure pourtant déjà les effets néfastes. En outre, notre enseignement y perdrait une de ces missions principales : la préparation des élèves à leur intégration dans une société dont ils doivent accepter la diversité.
Or, justement, les générations successives (de la première à la troisième) de cette communauté connaissent de sérieux problèmes persistants d’intégration. Très prompts à se plaindre de « discriminations » à l’embauche, peu de membres de cette communauté ont l’honnêteté de se demander s’ils sont vraiment compétitifs sur le marché de l’emploi, en particulier au niveau linguistique. Il est donc primordial de renforcer l’apprentissage de nos langues nationales auprès d’eux plutôt que de leur offrir l’option de l’une ou l’autre langue déconnectée de nos réalités. Pour ceux qui le désirent, le niveau universitaire offre un choix très large d’apprentissage et de spécialisation pour un nombre impressionnant de langues, anciennes ou modernes. Mais le prérequis pour l’apprentissage de langues étrangères reste une maîtrise de la langue de base (à ne pas confondre avec la langue maternelle). En Belgique, les langues de base sont : le français, le néerlandais ou l’allemand. Elles bénéficient d’un enseignement prioritaire et approfondi dans nos écoles maternelles, primaires et secondaires. Ceux qui rechignent à leur apprentissage en arguant que c’est l’arabe qui est leur langue de base, ont le loisir d’aller étudier dans les pays arabes ou arabisés. Quant à savoir si cela augmentera leur compétitivité sur notre marché de l’emploi…
En outre, l’arabe n’est pas n’importe quelle langue. Elle est la seule langue moderne au monde à être le vecteur d’une « religion » qui n’est, elle non plus, semblable aux autres religions, comme nous l’apprennent à suffisance les événements du passé et ceux du présent. La revendication de l’insertion de l’arabe dans l’enseignement, n’est donc pas que de nature linguistique ou culturelle. Elle pourrait dissimuler un prosélytisme religieux car l’islam est une doctrine totalitaire qui englobe tous les aspects de l’arabité, y compris la littérature, la linguistique etc. Cet enseignement nécessiterait, à coup sûr, l’embauche d’enseignants en provenance de l’étranger (devinez d’où) et on se retrouverait devant les mêmes problèmes que ceux déjà posés par les imams.