Les rues d’Ixelles livrées aux crapules gauchistes !
Depuis fin septembre, l’extrême-gauche avait lancé une campagne contre la présence des locaux de l’APF au milieu du quartier européen.
Cette campagne faite de menaces et d’actes de vandalisme n’avait pas empêché le secrétariat de l’APF (alliance de divers partis nationalistes d’Europe) de fonctionner presque quotidiennement.
Fin novembre, une première manifestation contre les bureaux de l’APF avait vu une première confrontation entre des anarchistes et la police. Les appels à manifester une nouvelle fois ce 17 décembre étaient clairement des incitations à la violence.
Et pourtant, les autorités politiques d’Ixelles ont laissé faire les casseurs gauchistes.
D’abord, alors que ceux-ci comptaient se rassembler sur une place située à quelques centaines de mètres des locaux de l’APF, les autorités (et nous en avons la preuve) leur ont-elles-même proposées de se rassembler devant le local…
Bien évidemment les gauchistes, qui pour beaucoup étaient masqués et vêtus de noir, se sont mis à jeter bouteilles et différents projectiles contre les locaux nationalistes mais aussi contre la police et contre les maisons voisines.
Par après, ce somme toute petit groupe d’extrémistes est parti en manifestation sauvage tout le long de la Rue de Luxembourg en y multipliant les actes de vandalisme (voitures abîmées, abri bus cassés, vitres brisées). Le groupe a encore pu se rendre jusqu’à la porte de Namur ou il a quand même été intercepté par la police qui a progressé à une septantaine d’arrestations.
Une fois de plus, on a l’impression que si la police a globalement fait le job, l’autorité politique a tout fait pour que cela dégénère et a beaucoup tergiversé avant de faire arrêter les militants de gauche…Sans doute que les élites qui nous gouvernent ont trop peur d’y retrouver leurs enfants ou ceux de leurs amis !
Enfin, on ne peut que constater que dans ce cas-ci, encore plus que dans d’autres, l’extrême-gauche est totalement instrumentalisée par les forces politiques sociales-démocrates qui mènent une campagne au sein du Parlement européen contre l’APF !
Les militants gauchistes devraient d’ailleurs se poser de sérieuses questions sur les (ir)responsables qui ont organisé les actions de samedi dernier. Actions dont il était évident qu’elles allaient se terminer par des arrestations, des fichages et des poursuites…
6 commentaires
Cholewa · 19 décembre 2016 à 17 h 19 min
L’ennui, c’est que les journaux télévisé ont parler du congrès et des dégâts dans le même reportage, mais n’ont jamais nommé les auteurs des dégâts, laissant à penser que c’est l’œuvre des militants de l’APF, évidemment !!!
hvl · 19 décembre 2016 à 18 h 42 min
Pour une fois si ! Les “antifascistes” sont clairement désignés comme les casseurs !
Dodo à l'hosto · 20 décembre 2016 à 14 h 29 min
Il est de notoriété publique que la gauche n’a aucune idée de ce que peut signifier le mot “démocratie” et encore moins de ce que cela implique. Tout ce qu’ils connaissent c’est la dictature par la violence. Beurk!
James · 20 décembre 2016 à 22 h 23 min
Il serait intéressant de savoir combien de P.V.’s administratif ont été dressés à charge de ceux qui ont été arrêtés??.
(en vue d’une amende administrative).
Il est aussi à noter que dans les médias on parle toujours de “anti-fascistes” alors qu’il s’agit bel et bien de crapules.
(dont la plupart est au chômage ou profite du CPAS). Ou autrement dit : les contribuables doivent payer pour la terreur qui est exercée contre eux -mêmes.
Debbaudt · 21 décembre 2016 à 12 h 12 min
On voit des masses déchainné de socialobobo hurlant la haine en détruisant le local d’un parti légal APF, pour la simple raison que ceux qui ne pensent pas comme eux doivent ètre éradiqué à jamais !
Ce n’est pas la bétise et la haine qui changeront nos idées car plus que jamais NATION est la seule alternative possible pour changer la donne politique !
hvl · 22 décembre 2016 à 11 h 33 min
en fait, ils ont touché tout le quartier sauf…le local APF. Ce ne sont que des crapules qui cherchent juste une justification vaguement politique et morale à leur soif de violences