Le Parlement européen refuse une minute de silence pour les victimes de la “violence multiculturelle” !
Ce mercredi au Parlement européen de Strasbourg, Udo Voigt, eurodéputé du NPD (et membre du parti pan-européen APF dont fait partie NATION) a appelé à une minute de silence pour “toutes les victimes de la terreur multiculturelle”.
À la suite de la reprise de la session parlementaire après les vacances d’été, le président du Parlement Tajani a commémoré de nombreuses victimes de catastrophes naturelles et d’accidents de la route qui avaient eu lieu pendant l’été. Notamment les victimes d’un accident de bus en Roumanie.
En revanche, Tajani n’a pas dit un mot sur les victimes de la violence de certains migrants en Allemagne. Violences qui sont désormais quasi-quotidiennes. Pourtant, tout ceci est une conséquence directe de la politique migratoire complètement ratée de l’UE.
Et la grande majorité des partis établis n’ont bien évidemment pas accepté une minute de silence pour les victimes de la violence quotidienne multiculturelle.
Bravo à Udo Voigt pour cette courageuse proposition !
3 commentaires
Marie · 13 septembre 2018 à 8 h 57 min
Et pendant ce temps, on ressuscite le fantôme d’une extrême-droite fascisante, des supporters d’Hitler même! Ce n’est ni la première ni la dernière fois que le système a recours à la diabolisation des nationalistes tout en passant sous silence le véritable ennemi, à savoir l’islamisation et les actes terroristes qui y sont liés.
Il faudra bien que ces gens rendent des comptes un jour.
Adadourov · 13 septembre 2018 à 16 h 01 min
Une hypocrisie sans limite,contrairement a ce qu’il disent certaines vies valent plus que d’autres C’est selon qui vous etes, ce que vous représentez et surtout si vous avez fait ou pas allégence à la pensée unique.Tel est leur démocratie, oh pardon je voulais dire démocrassie.
Laffineuse Bernard · 14 septembre 2018 à 9 h 29 min
Le parlement Européen n’acceptera jamais de reconnaître les victimes des islamistes qu’il a lui-même importés dans le but de créer un climat de terreur au sein des populations autochtones afin de pouvoir se doter, au nom de la lutte contre le terrorisme, d’une armée de mercenaires lui permettant de réprimer les mouvement d’opposition à sa politique néo libérale anti-sociale.