Tempête jaune sur la rue de la Loi !
Comme NATION l’avait annoncé, ses militants ont participé aux actions des gilets jaunes de ce 30 Novembre. Ce faisant, NATION est le seul mouvement politique de ce pays qui supporte non seulement politiquement les gilets jaunes mais dont les militants participent aussi aux actions de ceux-ci, partout dans le pays.
Ce 30 novembre donc, pendant 3 heures, plus d’un millier de personnes ont défilé dans les principales artères de Bruxelles pour crier leur refus de la politique économique et sociale du gouvernement qui ne prend que dans les poches des petites gens. Nous avons donc en effet réussi à bloquer la Rue de la Loi tout ce temps..
A la fin de cette manifestation spontanée, de sérieux incidents ont éclaté..Forçant la police à utiliser, outre les canons à eau, la cavalerie et les grenades lacrymogènes. Moyens qui n’avaient plus été utilises depuis bien longtemps à Bruxelles.
Les militants de NATION n’ont pas participé à ces incidents et ont, au contraire, lors de la marche pacifique toujours essayé d’aider à canaliser les manifestants afin d’éviter des violences inutiles.
Ceci dit, selon nous, c’est le système politique qui est avant tout responsable de ces violences.
En effet car c’est lui qui mène une politique sociale qui fait que les gens sont au bout du rouleau et donc sont excédés.
Ensuite car il apparaît de plus en plus que l’histoire de la manifestation autorisée puis annulée est plus que probablement une opération de certaines officines pour désorienter et décourager tout le monde. Si c’est le cas, alors ils se seront tirés une balle dans le pied puisque c’est justement cette manifestation avortée qui a poussé les gens à agir de manière autonome.
Enfin, c’est la faute du premier représentant du système politico-financier de ce pays Charles Michel. En effet, ce dernier a toujours balayé du revers d’une main, le principe de négocier avec les gilets jaunes. Et encore ce vendredi, alors qu’on nous avait laissé miroiter une visite, on s’est vite aperçu que le premier ministre ne voulait pas rencontrer.des délégués des gilets jaunes.
Ce qu’il faudra en tous cas retenir de cette journée, c’est que malgré le chaos régnant par rapport à cette activité, plus d’un millier de personnes ont bloqué le centre ville, Ce qui démontre que tout n’est peut être pas encore perdu 😉
Et n’oubliez pas tant pour ceux qui ont participé à la manifestation que pour les autres : “Nous sommes le peuple !”
Bravo et merci aux camarades présents à cet événement qui est déjà rentré dans l’histoire !
Plus de photos bientôt !
5 commentaires
vanderveken · 1 décembre 2018 à 9 h 28 min
Jusqu’à présent je vous ai soutenu, mais vous me décevez, en filmant cela avec des Smartphones à 500€, ce n’est pas nous c’est les autres, 70ans que j’entends ce discours, qui vas payer tout cela ? Des millions de jeté, vous et moi avec ma petite retraite. Pendant cela les gros bonnets, les lobbyistes, discutent en Argentine pour mieux vous rouler dans la farine. Une solution, si au moment des élections, PERSONNE ne se rend au bureau de vote !! Que vont-ils faire ????? Utopique ou réel. Casser ne sert à rien, tout le monde vote pour les mêmes depuis des années ici ou dans les autres pays, en Argentine ils discutent de savoir comment rendre les gens plus pauvres et les riches plus riche, regardez autour de vous les fortunes qu’il y a, cela déborde, le gros bonnet qui est en prison au japon, il reviendra triomphant, Publifin qui change de nom !!! On oublie tout et on recommence à nous flouer. Le monde est en déclin et le changement climatique auras raison de nous, nous disparaitrons………………………………………..
hvl · 1 décembre 2018 à 10 h 23 min
ok et qu’est ce qu’il faut donc faire. Ah oui ne pas aller voter afin que définitivement, les mêmes restent au pouvoir…
Marie · 1 décembre 2018 à 10 h 31 min
Le système est responsable de la grogne sociale, c’est certain.
La manif qui dégénère car les gens sont excédés…c’est possible.
Le tout récupéré par des casseurs veillant à discréditer le mouvement, ou tout simplement là pour le plaisir de casser et de se castagner avec la police, c’est possible aussi. Perso je pencherais plus pour cette deuxième option.
GERARD R. · 1 décembre 2018 à 10 h 51 min
Citation: “ok et qu’est ce qu’il faut donc faire. Ah oui ne pas aller voter afin que définitivement, les mêmes restent au pouvoir…”
Ça c’est précisément le scénario que nous vivons, alors qu’une majorité vote avec le sentiment du devoir “civique” accompli.
Mais quid, si 90 ou 95 % ne va plus voter ? Quid de la légitimité de ceux qui gouverneraient malgré tout ? Et comment organiseraient-ils leurs coalitions, sans se bouffer le nez entre eux ?
En France, l’actuel président a été élu avec très peu de voix. Sa légitimité est remise en cause et on la lui jette à la face, en permanence. Résultat: c’est lui qui provoque les plus grandes hostilités du peuple à son encontre. Même Hollande n’a pas essuyé autant d’affronts.
Est-ce à dire que plus on est fragilement élu, plus on est sur la sellette ? La question mérite d’être étudiée.
Si l’on se base sur les conséquences de nos dernières élections communales, force est de constater, qu’un refus de voter entre 10 et 14 % SEULEMENT de la population, a néanmoins permis dans certaines communes, des coalitions entre TOUS LES PARTIS traditionnels en lice, hormis les chéguévaristes du PTB…
À méditer…
Le Ket · 1 décembre 2018 à 14 h 58 min
NE RIEN LACHER !
Bravo pour les militants nationalistes qui ont les couilles d’être présent sur le terrain et félicitations pour ceux et celles qui les soutiennent.
Hier, un millier au carrefour Arts-Loi ? Demain = le double ! Le Régime ne comprend que le rapport des forces.
Il serait utile de faire preuve d’endurance, et surtout de ne pas céder au découragement. Forts de nos convictions, de notre détermination et de courage moral et physique, la situation pourra évoluer.
“Là où il y a une volonté, il y a un chemin !” Guillaume d’Orange.