La pauvreté en Belgique, un double scandale !

Publié par NATION le

Cet article va en choquer plus d’un(e) mais ce scandale doit être révélé ! Et NATION, en bon ennemi du système qui permet cette pauvreté, dénonce !

  • 80.000 enfants de 0 à 6 ans vivent en Wallonie et à Bruxelles sous le seuil de pauvreté
  • 20,9% des Belges indiquent avoir des difficultés voire des grandes difficultés à s’en sortir
  • 4 retraités sur 10 en Belgique vivent sous le seuil de pauvreté
  • Pour 2018, Eurostat indique que 2,3 millions de personnes en Belgique sont menacés de pauvreté ou d’exclusion sociale
  • Au moins 20.000 SDF errent dans les rues, gares et métros du pays
  • Selon la Cour des Comptes, en mars 2018, le gouvernement Michel a puisé 40 millions d’euros dans le budget destiné à la lutte contre la pauvreté, pour « faire des économies » ..

Et c’est avec ce dernier point que le scandale s’accentue. Nous pourrions penser (naïvement), que l’État belge manque de moyens financiers pour lutter contre la pauvreté nationale…Mais détrompez-vous, cet argent « manquant » sert à financer les « réfugiés » illégaux qui arrivent en flux continus !

La Belgique participe financièrement au Fonds Africain de Développement (FAD), à raison de 72 millions d’euros annuels en trois versements. Ces versements, qui augmentent d’année en année, durent depuis 1972. Ces fonds, alimentés également par d’autres pays occidentaux, servent (en principe) à l’aide bilatérale, la coopération technique, à faire des dons, des prêts, etc … Et qui paye ? Nous, les contribuables !

Ce n’est pas tout ! Il y a aussi « l’APD », ou l’Aide Publique au Développement pour laquelle la Belgique est considérée par l’OCDE en 2011, comme « un donateur relativement généreux ». Belgique qui, en 2010, y avait consacré 0,64% de son Revenu National Brut.

Et qui paye ? Toujours nous, contribuables et cochons payeurs !

Il n’y a pas de chiffres précis, mais nous pouvons aisément imaginer que cela se chiffre sur ces dix dernières années, à quelques milliards d’euros … Et qui paye ? Toujours nous !!

Et ce n’est pas encore fini. Il y a aussi la « Mission de Coopération Belge au Développement » qui, en 2015, par exemple, a reçu quelques 1,7 milliards d’euros … Et qui paye ? Les contribuables !

On continue ? L’afflux des « réfugiés » a aussi un coût ! Et si ce coût n’est jamais clairement précisé même si nous savons quand même que pour l’année 2015, le gouvernement belge avait préparé un budget de 300 millions d’euros pour couvrir ce problème. Et il est certain  que ces 300 millions ne représentent pas l’entièreté des coûts générés par les réfugiés.

Vous pensez que c’est fini ? Pas du tout, il y en a encore : 

  • les financements des ONG, dont celles qui s’occupent de l’accueil et du bien-être des migrants dans notre pays
  • les missions envoyées en Afrique subsaharienne
  • 100 millions d’euros annuels pour la Direction Générale de la Coopération au Développement (DGD).
  • les ONG qui reçoivent en plus des subsides du Ministère des Affaires étrangères
  • le Fonds Belge de Survie qui est une initiative du Parlement Belge et des parlements régionaux. Selon le site « GLO.BE Pour un monde durable », la Belgique a consacré en 2017, 170 millions d’euros pour financer les ONG d’aides humanitaires aux réfugiés. Les deux plus grands bénéficiaires étant la Croix Rouge et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR).Et qui paye ? Faut-il encore le préciser ?

Chers compatriotes, de grâce, ouvrez les yeux ! Ne remettez plus ces requins, ces banksters au pouvoir en mai 2019, faites le bon choix, VOTEZ NATION !!!

Jean-Pierre Demol

Source : ACODEV.BE – EU-SILC2017 – luttepauvreté.be – ENEO – statbel.fgov.be – SFP Service Social – Ministère des Affaires étrangères – La Libre – glo.be – Cour des Comptes – EUROSTAT


1 commentaire

Laffineuse Bernard · 3 janvier 2019 à 13 h 03 min

Bien d’accord avec cette analyse et les élections approchent mais n’oubliez pas que toutes ces dépenses sont approuvée par la Commission Européenne et même suggérée et incitée par elle et tant que cette Commission Economique Européenne rebaptisée Union Européenne existe, il ne peut y avoir aucun changement possible.
N’oubliez pas qu’il y a, au sein de cette Commission, autant de lobbyistes que de ministres et députés. De plus, tous les ministres belges de la Commissions ont participés activement au démembrement des mesures sociales de notre pays.

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