Moi, ancien communiste, passé à NATION !

Publié par NATION le

Né au Borinage en 43, de milieu ouvrier, de famille communiste notoire.

A 16 ans, J’étais communiste parce que je croyais en l’homme.

Puis, je suis devenu PS (car je ne croyais plus en l’homme mais plutôt dans un parti. Mais J’ai ensuite vite rompu avec l’«engeance» PS  qui devenait à mon sens, ce que je reprochais à l’hégémonie politique de l’époque (PSC et PL).

A 22 ans et après  4 ans d’apprentissage menuiserie, un passage au jury central et 3 ans d’études supérieures, je tournais le dos aux propositions PS et allais m’engager dans une institution catholique où j’ai exercé la kiné pendant 46 ans. 

Pendant 40 ans, j’ai assisté dégoûté au développement d’un arrivisme écœurant chez mes anciens camarades.  

J’ai « visité » bon nombre de partis réactionnaires sans trouver mon content.

Vers les 60 ans, j’ai suivi la pensée philosophique laïque (et pris progressivement conscience de mon athéisme.)  Puis j’ai sombré dans un défaitisme sociopolitique, me réfugiant dans la compensation épicurienne en abandonnant tout espoir d’un avenir meilleur pour nos suivants.      

A 67ans, alors que des premiers signes d’anti mondialisme apparaissaient, une maladie orpheline (SGB) me laissa PMR. N’ayant pas mal récupéré, j’ai repris mon chemin, soutenu le PP un temps et recru en une possibilité d’avenir meilleur avec le virage identitaire des peuples.                                        

En 2017 je suis devenu membre d’ABA (association belge des athées).                                                                                                                            

En 2018, j’ai découvert et suivi un temps le groupe musical «Les Brigandes». Puis me suis intéressé à Polémia, Riposte laïque, et en suivant les derniers événements politiques je suis arrivé chez NATION.                            

Actuellement, j’en suis à considérer que l’homme est la plus «sale bête»  existant sur terre. Qu’il a (presque) tout «essayé» pour satisfaire sa grégarité sans se méfier de l’inexorable résurgence de son égocentrisme.                                           

Homme de gauche mal à l’aise dans d’autres structures, J’AI RETROUVÉ MON ANTI MONDIALISME EN NATION (identité, patriotisme, solidarité, espoir de sécurité) mais aussi un milieu d’existence politique vivable quelque part entre le «camarade» de Ferrat et celui d’Aznavour.

ATTENTION !

Les «mondialistes» misent sur une dispersion des voix anti mondialistes. Ne tombons pas dans ce piège …LE 26 MAI, LE VOTE ANTI MONDIALISTE DOIT PRIMER !  

(Et pour vaincre, les ennemis de nos ennemis PEUVENT être nos amis.)

Yvon Levêque


1 commentaire

Kephas · 13 avril 2019 à 12 h 49 min

Le côté athée et laïc du témoignage est vraiment sombre et triste. C’est bien la sécularisation de la société qui a mené l’Occident là où il est aujourd’hui. La société sans Dieu et une société faible, hédoniste, à la natalité faible, qui laissera tôt ou tard place à une autre population.

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